(Publication initialement publiée sur la page Facebook Je prépare ma prépa)

J’ai décidé de rendre public deux mails envoyés dernièrement par deux jeunes femmes brillantes, diplômées Grande Ecole et qui ont fait une prépa. Pourquoi est-ce intéressant pour toi ? Parce que ce qui est compliqué c’est que, souvent, on ne sait pas qu’on ne sait pas...

Aujourd’hui peut-être qu’en voyant le détail de la formation Je prépare ma prépa, dans ton espace de formation personnel, tu te dis que les notions abordées ne sont peut-être pas si importantes que ça. Que c’est inutile, que la formation est trop chère, que tu sais déjà beaucoup de choses ou qu’il y a d’autres sources d’infos gratuites sur le net. Parce qu’il t’est difficile de savoir combien c’est important, c’est normal, tu es au pied du mur, tu ne peux pas voir quel paysage t’attend derrière le mur.

Alors je vais donner la parole à Laure, qui a gentiment accepté de témoigner. Parce que Laure a du recul, Laure sait maintenant qu’elle ne savait pas avant.

« Ce que tu apportes là Hélène, c’est vraiment ce qui manque à ceux qui n’ont pas de parents qui ont déjà fait une prépa ou qui sont déjà dans le système des grandes écoles. Avoir le bon mental pour évoluer, apprendre à se positionner, à doser son effort... après 6-7 ans de vie professionnelle j’en conclus que c’est vraiment ça qui nous manque à tous. Nos parents ne nous l’ont pas appris, le secondaire et la prépa ne sont pas dédiés à ça et la grande école est tellement élitiste qu’elle considère que c’est inné, un acquis.
Les connaissances techniques, on est tous capables de les apprendre très vite. Mais savoir s’organiser, doser son travail, garder de l'énergie pour ne pas finir en burn-out, gérer ses relations avec les autres et avec soi-même, ses émotions et ses peurs, nous le découvrons au fur et à mesure. J’ai l’impression d’avoir quasi perdu 6 ans de ce point de vue-là. »

Laure parle vrai, du fond du cœur, mais j’ai un deuxième témoignage tout aussi intéressant.
Peut-être que ce deuxième témoignage te parlera davantage.

Cette fois-ci c’est Charlotte qui parle et qui a elle aussi accepté que je dévoile son auto-analyse, pour la bonne cause, pour que tu « gagnes du temps ».

Charlotte était une bonne élève. Charlotte a travaillé dur en prépa et a intégré une très bonne école.
Elle a vécu dans de nombreux pays et occupe aujourd’hui un poste très envié en Europe dans une grosse entreprise multinationale dont tout le monde connaît la marque et dont tout le monde voit les publicités à la télé.

Charlotte, elle aussi, incarne la réussite. Et Charlotte donne son avis sur Je prépare ma prépa :

« Je trouve que c’est vraiment un excellent service vu que la prépa est un moment de doute, un moment difficile et que l’accompagnement mental est complètement laissé de côté, alors que ce n’est pas le moins important...

J’ai cru comprendre que tu t’adressais aux « jeunes ambitieux ».
Pour moi, en prépa il y a aussi une flopée de personnes qui sont de bons élèves, qui ont été mis là par leurs parents « parce qu’ils étaient de bons élèves » mais qui n’ont pas vraiment d’assurance sociale ou de confiance en eux.
Pour eux, la prépa c’est moins « s’épanouir » que « construire », construire leur avenir, construire leur vie, avancer. Et c’est important d’arriver à se dire qu’on est un individu qui vaut plus que des bonnes notes.
C'était mon cas personnel, et je pense que je ne suis pas la seule...
Si j’avais eu cette grande sœur à cette époque, j’aurais peut-être été plus débrouillarde, plus sûre de moi. J’aurais peut-être appris à me trouver/m’affirmer plus vite. Et je ne pense pas être la seule. »

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J'ai précisé certains points de ces témoignages dans la vidéo ci-dessous :

Pour approfondir cet article, je te propose dans ma formation une version condensée, synthétisée, résumée d'une vingtaine de livres de référence en développement personnel. Je te propose une synthèse de ces différents conseils pour que tu puisses élever ton niveau d'énergie, gagner en efficacité pendant tes années de prépa. Tu peux aussi consulter les références ci-dessous qui sont citées dans l'article.